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Dépêche Technique Nov.-Dèc 2023 : les glomérulopathies chez le chien

Dépêche Technique Nov.-Dèc 2023 : les glomérulopathies chez le chien

LA DÉPÊCHE VETERINAIRE
(Code: DT209-210)
Sur commande
Disponible sous 1 jours
La Dépêche Technique n° 209-210
Déc. 2023, La Dépêche Vétérinaire
36 pages
21 x 29,7 cm
22,00 €
110g
Description

Diagnostic des glomérulopathies chez le chien

Les glomérulopathies sont une famille de maladies rénales caractérisées par une protéinurie d'origine rénale, souvent marquée.

Elles peuvent donc être identifiées lorsqu'une protéinurie d'origine rénale est mise en évidence :

- chez un animal azotémique,

-  chez un animal asymptomatique ou évalué pour une affection extra-rénale,

- chez un animal présenté pour des complications relatives à la glomérulopathie (thromboembolie, hypertension, accumulation de fluide extravasculaire).


Traitement des glomérulopathies chez le chien

Lorsqu'une glomérulopathie est identifiée chez un chien, un traitement standard est indiqué dans tous les cas : il comprend le traitement antiprotéinurique et la prise en charge des conséquences de la glomérulopathie (hypertension artérielle systémique, état hypercoagulable et syndrome néphrotique (SN)). En médecine humaine, le bénéfice d'un traitement immunosuppresseur a été étudié pour chaque type de glomérulopathie. De telles données n'existent pas encore en médecine vétérinaire. Le traitement spécifique est donc dicté par l'existence ou non d'une maladie intercurrente potentiellement causative et de la documentation d'un processus à médiation immune (dépôts de complexes immuns au sein du glomérule).


Prise en charge précoce des animaux agités (HsHa)

Le praticien vétérinaire canin reçoit très souvent de jeunes animaux qu'il trouve agités sans avoir la certitude qu'ils sont pathologiques et qu'ils nécessitent une prise en charge. Les discussions qui peuvent traverser la profession au sujet de la limite entre normal et pathologique ne simplifient pas cette prise de décision. Hyperactivité, inquiétude, phobie ou simple défaut d'éducation ou de stimulation, la question se pose souvent et nous allons tenter d'éclaircir la situation.


Alimenter un lapin anorexique - Principes et subtilités

Tout comme les rongeurs hystrichomorphes (cochon d'inde, chinchilla, octodon), le lapin est une espèce strictement herbivore, qui possède une dentition adaptée, un seul estomac (monogastrique) ainsi qu'un caecum et un colon, proéminents, où se déroule la majeure partie de la fermentation des aliments. La flore caecale est importante, constituée principalement de bactéries Gram positives et de bactéries anaérobies et, dans une moindre mesure de coliformes et de levures. Les besoins en fibres sont élevés chez cette espèce (au moins 15 %, voire 30-35 %).

Compte tenu de cette physiologie digestive particulière, un lapin qui ne s'alimente pas correctement seul voit son pronostic vital rapidement engagé, parfois en un ou deux jours seulement.


Évaluation mondiale sur les espèces exotiques envahissantes - leurs impacts et les actions pour les gérer

La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (Ipbes) a publié, début septembre, un grand rapport sur les espèces exotiques envahissantes, leurs impacts et les mesures de gestion.

Quatre-vingt-six experts de quarante-neuf pays ont travaillé à ce rapport pendant quatre ans et demi. Ils ont compilé plus de 13 000 références dont des contributions importantes de peuples indigènes et communautés locales.

Un résumé pour décideurs de 56 pages est disponible sur le site de la plateforme.