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Le mégaoesophage chez le chien - Soutien nutritionnel des patients convalescents

Le mégaoesophage chez le chien - Soutien nutritionnel des patients convalescents

LA DÉPÊCHE VETERINAIRE
(Code: DT186)
En rupture
Disponible sous 1 jours
Dépêche Technique n°186
Juin 2021, La Dépêche Vétérinaire
21 x 29,70 cm
22,00 €
110g
Description
Péritonite infectieuse féline et Covid : comparaison
Le parallèle entre la péritonite infectieuse féline (PIF) et la COVID-19, deux maladies causées par des coronavirus, est probablement déjà venu à l'esprit de tous les vétérinaires.
L'idée que le SARS-CoV-2, l'agent étiologique de la COVID-19, pourrait se comporter comme le FCoV, l'agent étiologique de la PIF, est glaçante.
Ce scénario est pourtant très improbable, car les maladies et leurs agents respectifs sont très différents.

Le mégaoesophage chez le chien
Un mégaoesophage (ME) est défini par une dilatation généralisée ou segmentaire de l'oesophage, associée à une hypomotilité.
Les ME sont classés en formes congénitales ou acquises. Les formes acquises peuvent être idiopathiques ou secondaires à un processus pathologique. La dilatation et l'hypomotilité de l'oesophage causent une accumulation de nourriture et de salive dans la lumière oesophagienne, des régurgitations, pouvant ensuite causer une malnutrition et des épisodes de pneumonie par inhalation.

Soutien nutritionnel des patients convalescents
Les animaux hospitalisés sont, dans leur grande majorité, sous-nourris par absence de soutien nutritionnel approprié.
Le soutien nutritionnel fait désormais partie intégrante de la prise en charge des patients en phase critique.
L'animal hospitalisé est particulièrement exposé au risque de malnutrition tant par un apport alimentaire inadapté à cause de troubles de l'appétit (anorexie, dysorexie, hyporexie) que par les altérations de son métabolisme.
Si le jeûne ne pose pas forcément de problème chez l'animal en bonne santé, il est toujours délétère chez l'animal malade.
Les objectifs du soutien nutritionnel des animaux hospitalisés sont de corriger la malnutrition lorsqu'elle est déjà présente et de la prévenir chez les patients à risques.

L'examen clinique du cochon d'Inde et du chinchilla

Le cochon d'Inde et le chinchilla sont des rongeurs hystrichomorphes originaires d'Amérique du Sud. Ce sont des animaux sociaux. Ces deux espèces ont des caractéristiques anatomiques et physiologiques en commun. Ce sont des herbivores monogastriques, avec un cæcum bien développé. En médecine vétérinaire, leur approche est similaire.
Ils présentent toutefois des comportements différents, propres à chacun. Le cochon d'Inde est la plupart du temps calme et plutôt stressé. Il est généralement inoffensif, ne mord pas et ne griffe pas. Il communique en émettant un large panel de vocalises. Le chinchilla est généralement vif et très agile. Il se débat et saute à des hauteurs importantes (peut facilement sauter de la table de consultation). Selon les individus, il peut mordre, bien que ce soit plutôt rare.

Dermatologie au quotidien en pratique équine
Encore peu développée et peu considérée parfois par les propriétaires, avec un faible arsenal thérapeutique à AMM dédiée et moins documentée que la canine, la dermatologie équine génère pourtant un grand nombre de consultations, directes ou au cours d'une autre visite. Tantôt animal d'extérieur exposé aux blessures, parasites et insectes, tantôt animal confiné, sous une couverture, dans une écurie, exposé aux agents contagieux et parasitaires, le cheval a une peau particulière dont les caractéristiques sont à connaître pour mieux appréhender les traitements des affections dermatologiques courantes.

Le vautour fauve, un atout écologique et économique pour la région des Baronnies-Vercors
Le ministère de la transition écologique, avec le concours de l'association Vautours en Baronnies et des parcs naturels régionaux du Vercors et des Baronnies provençales, a publié en avril 2021, un gros rapport intitulé :
« Mettre en valeur les espèces sauvages et leurs fonctions écologiques dans les territoires. Recommandations à partir du cas de la réintroduction du vautour fauve dans les parcs naturels régionaux du Vercors et des Baronnies provençales ».
L'originalité de ce travail, conduit dans le cadre du programme d'évaluation française des écosystèmes et des services écosystémiques (Efese), repose, d'une part, sur les 25 ans d'expérience de réintroduction des vautours dans les deux parcs naturels régionaux et, d'autre part, sur la publication de 18 messages clés à destination des décideurs établis par consensus scientifique (approbation par le conseil scientifique du programme), puis sociétal (approbation par le comité des parties prenantes).

Que dit l'affichage des valeurs sur les valeurs de l'entreprise ?
Le mot valeur fait partie de ce nuage de termes dont aime se gargariser le management. Le vocable est à la mode, on déclare « il faut avoir des valeurs ! ». Cela ne mange pas de pain de le dire, mais suffit-il de le déclarer pour en avoir ? Que signifie avoir des valeurs ? est-ce que cela a un sens ? Si tout le monde y croit, faut-il y croire ? N'est-ce pas trop beau pour être vrai dès lors que tout le monde déclare agir avec des (bonnes) valeurs ?