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La gestion de la douleur - Partie I

La gestion de la douleur - Partie I

LA DÉPÊCHE VETERINAIRE
(Code: DT96)
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Dépêche Technique n°96
Patrick Verwaerde
2005, La Dépêche Vétérinaire
48 pages
21 x 29,70 cm
6,60 €
110g
Description
Ce dossier spécial de 48 pages, réalisé en 2005, est consacré exclusivement à la douleur et à son traitement chez les principales espèces animales (équins, bovins, carnivores domestiques, NAC ...). Il vise à faire le point sur les pratiques de l’analgésie.



Résolument pratique, ce supplément de La Dépêche Vétérinaire explique les bases physiopathologiques de la douleur et détaille les principes d’une analgésie efficace. S’appuyant sur ces données essentielles, les articles suivants sont centrés sur les aspects très pratiques de l’analgésie par espèce et doivent permettre à tous confrères désireux d’optimiser la prise en charge de la douleur animale de trouver les informations nécessaires.



Ce dossier, coordonné par le docteur vétérinaire Patrick Verwaerde, a été réalisé avec la participation des docteurs vétérinaires G. Bussières, S. Cuvelliez, C. Desbois, M. Gogny, D. Holopherne, G. Jourdan, S. Junot, J-J kona Boun, I. Langlois, B. Mercier et E. Troncy.



Sous l’impulsion de mouvements associatifs comme celui de l’Association vétérinaire pour l’anesthésie et l’analgésie animale (4AVET, élue vétérinaire de l’année 2001), la prise en charge de la douleur animale émerge depuis la fin des années 90 au sein de la profession vétérinaire Française. Depuis longtemps ancrée dans la culture de nombreux pays à travers le monde, le traitement de la douleur animale s’appuie de plus en plus sur des données expérimentales et cliniques pertinentes et rigoureuses qui permettent d’améliorer la pratique de l’analgésie chez l’animal.

La pratique de l’analgésie, image essentielle pour notre profession, suppose au préalable une prise de conscience de l’existence de la douleur chez un grand nombre de nos patients. La douleur n’est pas réservée aux seuls carnivores domestiques, elle s’observe aussi fréquemment chez les animaux de rente. Ainsi, tout vétérinaire ayant une activité clinique canine-féline, rurale ou industrielle doit s’interroger sur l’existence chez l’animal d’un processus algique et être à même d’y remédier.