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Vaccination

Vaccination

LA DÉPÊCHE VETERINAIRE
(Code: DT172)
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Dépêche Technique n°172
Nov. 2019, La Dépêche Vétérinaire
28 pages
21 x 29,70 cm
22,00 €
110g
Description
MÉDECINE PRÉVENTIVE :
Recommandations vaccinales chez le chien et le chat

Systématisée dans les années 1970, la vaccination des animaux de compagnie occupe aujourd'hui une place majeure dans le quotidien du praticien généraliste. Si elle a fait ses preuves depuis plusieurs dizaines d'années, les recherches en immunologie continuent à développer les connaissances et contribuent à faire évoluer les pratiques.

Ainsi les recommandations vaccinales éditées par différents organismes sont régulièrement mises à jour. Les recommandations les plus récentes prônent une vaccination raisonnée, fondée sur l'évaluation du risque selon le contexte épidémiologique de l'animal.

Nous combinons ici les recommandations concernant les principales vaccinations du chien et du chat. En raison de son statut législatif particulier, la vaccination antirabique ne sera pas abordée.

Abécédaire de la vaccination chez les bovins

L'efficacité clinique et la rentabilité économique de la vaccination des bovins contre les pathologies les plus pénalisantes rencontrées dans les différents contextes d'élevage, en fonction des facteurs de risque, variables selon l'environnement, le mode d'élevage et le type de production, sont des critères majeurs pour mettre en place et faire perdurer les mesures de prophylaxie médicale en filière bovine, celles-ci étant généralement à la charge de l'éleveur.

Une vaccination à but épidémiologique (par exemple, pour prévenir la formation in utero de veaux IPI*, massivement excréteurs du virus BVD**, ou la contamination d'insectes vecteurs comme dans le cas de la FCO***) est parfois indiquée pour prévenir certaines infections aux conséquences potentiellement dévastatrices sur la santé et les performances des animaux, ou dans le cadre de plans collectifs de lutte.

FOCUS :

Prévention des agressions verbales et physiques : les bonnes pratiques


Ces dernières années et ces derniers mois, les agressions verbales et physiques défraient l'actualité vétérinaire et font réagir sur les réseaux sociaux. Entre le praticien qui n'a pas réussi à sauver l'animal adoré 1, le caractère mercantile trop prononcé 2, le refus de délivrance de substances réglementées ou de rédiger une fausse déclaration, les gestes inadaptés du point de vue du maître comme le port de la muselière, ...tous les motifs sont bons pour agresser au minimum verbalement le vétérinaire et ses collaborateurs et parfois passer à des actes de violence physique.

Comment penser l'injonction du "lâcher prise !" ?

Il y une trentaine d'années, le management n'avait qu'un mot d'ordre à la bouche : « Il faut être motivé ! » Il fallait avoir des collaborateurs HYPER motivés qui voulaient « tout bouffer ». Il fallait que le manager le soit aussi ! Ce diktat à fait son chemin et au bout de quelques décennies, les responsables l'ont suffisamment intériorisé et se sont approprié cette fable managériale de l'hyper motivation. Mais alors, tout d'un coup, cela devient vital : « Il faut lâcher-prise ! »